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Les relations entre le Maroc d’un côté et les Emirats Arabes Unis alliés à l’Arabie Saoudite de l’autre, déjà tendues, une relation basée sur un sale jeu de piller les richesses du Maroc. Les sanguinaires Mohamed ben Salman, prince héritier saoudien et Mohamed ben Zayed, homme fort des Emirats, seraient décidés à déclarer les hostilités au roi prédateur Mohamed 6. Le régime marocain très fragile peut s’effondre facilement par les tentatives d’intervention saoudiennes et émiraties dans la politique interne du pays. Face aux rebuffades de régime tyrannique marocain, L'Arabie saoudite et les Émirats arabes ont décidé de passer à la vitesse supérieure. Les Emirats, qui financent la chaîne de télévision Sky News Arabia, ont chargé un ancien agent de renseignements émiratis du nom d’Ahmed al-Rabiaâ de veiller sur le lancement de Sky News Maroc. La chaîne de télévision aurait comme feuille de route de dévoiler la face cachée d’un regime illégitime pépinière de terrorisme où les islamistes des frères musulmans de parti PJD conduisent le gouvernement depuis 2012. Le tyran Mohamed VI considère le lancement d’un tel projet sans son assentiment comme un geste hostile sur lui. L’Arabie Saoudite serait également se charge d’une télévision généraliste sous le nom de MBC Morocco. Turki Al Sheikh, qui ne porte pas le tyran marocain dans son cœur, a déjà chargé une boîte de production libanaise afin qu’elle tourne des séries et des fictions marocaines avec comme thèmes de prédilection : le roi prédateur des richesses de son pays, la royaume de prostitution, la drogue, le terrorisme islamique, la magie noire, le terrorisme d’état, l’injustice de l’appareil juridique .Selon des sources de la mafia à Rabat a ordonné ses milices des services des renseignements, de la police et des autorités locaux auraient ouvert des enquêtes sur plusieurs réseaux qui bénéficieraient de financements en provenance de l’Arabie Saoudite et des Emirats Arabes Unis. Dans leur ligne de mire, certains médias locaux, des journalistes, des écrivains, des blogueur, des activistes d’opinions sur les réseaux sociaux, les opposants et même certains hommes politiques.   

 

Par : Orilio Bahia

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