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C’est incohérent que je suis sous les gyrophares des intimidations de régime tyrannique sur place au Maroc. La majorité des opposants marocains ont rejoint la diaspora qui combatte la dictature absolue. C’est pourquoi je persiste, la diaspora, les collectifs, des appels des villes des pays européens, les parties civile, les partis d'opposition très urgent de se consulter pour valider une charte nationale et voter un gouvernement national et un parlement en exil pour un’ état de droit démocratique au Maroc. la mobilisation des forces vives de la Nation, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur, en se dissociant du régime putschiste du dictateur Mohamed VI, cette forme de résistance a tenue tout particulièrement à marquer sa différence et se démarquer d’un pouvoir illégal, illégitime et sanguinaire. Cette situation a conduit, les’ oppositions et les forces vives à s'engager dans une démarche unitaire en isolant encore plus le régime dictatorial de roi. Incapable de tirer les leçons de ses échecs successifs, de rectifier le cap pour réorienter le pays vers un environnement apaisé et de créer les conditions d'un vrai dialogue inclusif et constructif ce régime continue de s'enfoncer dans la seule voie qui semble attirer toute son attention : le tout répressif. C’est ainsi qu’une vague de violence aveugle s'abat sur les opposants présents à cette manifestation. Plusieurs villes du Maroc se révoltent contre ce pouvoir illégitime issu et sous la protectorat française, sont saccagées de fond en comble par une mafia de forces policières et militaires qui ont fait plusieurs victimes et opéré des nombreuses arrestations de jeunes manifs et activistes politiques et d’opinions. Dans cet élan barbare dicté par la haine et l'orgueil démesurés d'un pouvoir agonisant, des leaders charismatiques de l'opposition sont arrêtés et jetés en prison et mis en cachot. Les figures de proue et personnalité iconique de l'opposition est menacé par une justice instrumentalisée au service des intérêts uniquement partisans. Les activistes des droits humains et d’opinion, l’organisation d’amnistie internationale appelle donc à la mobilisation de tous pour accompagner des combattants progressistes devant la parodie et le terrorisme de la justice de dictateur le roi Mohamed VI pour empêcher leur arrestation. Ils réitèrent ses exigences de libération sans condition de tous les prisonniers politiques et d’opinions, l’arrêt de la chasse à l'homme, les persécutions des journalistes, des blogueurs, des activistes de social media et le rétablissement de l’état de droits. J’interpelle toutes les forces vives dans la diaspora marocaine à un congrès extraordinaire très urgent. Afin de voter la charte nationale de transition de la dictature. D’élire un Gouvernement de l'état de droit démocratique et un parlement des marocains en exil. Un gouvernement et un parlement en exil seul à charge pour déloger un dictateur absolu pilleur de nos richesses et toute sa poignée des malfrats à jamais. Selon les conclusions et les recommandations issues de la table ronde entre les opposants en Suisse. Sont encourageantes et font venir de l'eau à la bouche. Une conférence de presse tiendra à Paris la capitale française qui normalement rendre publique le dossier de la table ronde de la diaspora marocain. A l’issue de cette conférence des O.N.G de droit de l'homme seront présents et une participation significatives de la presse étrangère qui si ça se confirme sera un bon coup car c'est la seul chose qui nous fait défaut et ça va marquer un nouveau virage de la lutte contre la dictature et les pilleurs des richesses de notre pays. Le dictateur le roi prédateur Mohamed VI a compris qu'il est lâché par le lobby sioniste juive d’Amérique et de l’homme de la maison blanche et de quelques députés de congrès achetés, ça risque de tourner à la vinaigrette, il est inquiet même, il commence à songer a un départ anticipé pour s'exiler. En fin selon des sources bien informées une signalisation est en cour de rédaction par une organisation de droit de l'homme, il y a de quoi a vouloir prendre l'exil. Le combat continue jusqu'à un État de droit. Donc, ainsi place à un vrai gouvernement et un parlement en exil. On ne s’amuse pas avec un régime tyrannique issu et sous le protectorat français et ses collabos. Mohamed VI n'est pas notre roi ni notre chef d’état. Jusqu’au bout un État de droit démocratique. Vive les marocains libre

Par : Orilio Bahia

 

 

 

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